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il y a 4 ans
Mon histoire érotique est simple et basée sur du réel. J’ai découvert, il y a peu, un plaisir très intense qui se passe dans la tête avant de se concrétiser sexuellement. Voir sa femme se faire baiser par plusieurs hommes.
Pas la voir avec un amant, non, cela je l’ai déjà vécu dans nos soirées échangistes. Non, la voir se faire prendre devant moi par plusieurs hommes, sans l’avoir voulu, comme ça, par jeux pervers, au cours d’une banale petite soirée entre amis. Pas de l’échangisme non plus, un concours de circonstances, un hasard l’a permis.
Nous sommes mariés depuis quinze ans. Elle est blonde, yeux bleus, assez grande, mince, bien foutue, jolie, très mignonne. J’aime qu’elle s’habille de façon sexy : robes courtes, minijupes, jamais de soutien-gorge, elle aime le faire.
Comme tous les hommes, je suis voyeur et comme la plupart des jolies femmes, elle est un peu exhibitionniste. J’ai souvent constaté que des hommes la lorgnaient quand elle s’asseyait quelque part ou montait un escalier, rien de plus normal, mais, plusieurs fois, je lui ai demandé d’écarter les cuisses, pour le plus grand plaisir des voyeurs qui la mataient. Ça m’excite, et elle aussi, d’ailleurs, elle n’est pas très pudique et laisse voir sa petite culotte très souvent, par inadvertance, bien sûr.
Michel et Georges sont des amis de longue date. Ils sont mariés tous les deux et nous devions tous nous retrouver ce soir-là pour dîner ensemble. Georges est arrivé le premier, seul ; sa femme avait été obligée d’aller voir ses parents et elle resterait chez eux jusqu’à demain. Il n’avait pas pu nous prévenir. Michel suivit, lui aussi seul. Son épouse restait au chevet de son fils, malade, et il était quand même venu. Nous serions donc trois hommes et une femme.
Ma chérie était particulièrement jolie, habillée comme d’habitude, très court et, comme d’habitude, elle montrait sa petite culotte, toujours blanche et transparente aujourd’hui, à tout bout de champ. Mes amis en avaient l’habitude, mais ils ne se privaient pas de la mater quand même et je surprenais souvent leurs regards dirigés vers l’entrecuisse de ma femme.
C’est ce qui m’a provoqué le déclic. J’ai eu envie qu’elle s’exhibe devant eux et peut-être même un peu plus. Je faisais en sorte que le verre de ma chérie ne fût jamais vide. Un peu d’alcool la libère de ses réserves et je remplissais aussi les verres de Michel et de Georges. Puis j’ai mis de la musique, j’ai commencé par danser avec elle, en lui pelotant carrément les fesses, elle se laissait faire, mais m’a murmuré, pas dupe :
— Qu’est-ce que tu fais ? Tu veux me saouler ?
— J’ai envie de m’amuser avec toi et eux…
— C’est quoi, t’ « amuser avec eux et moi » ?
— Tu pourrais te montrer sexy, par exemple, les émoustiller un peu, flirter avec eux, les exciter quoi !
— Mais pourquoi ? me dit-elle en frissonnant, alors qu’elle se doutait où je voulais l’amener. Tu veux… Tu aimerais qu’ils… qu’ils me… qu’ils me fassent des choses ? C’est ça ?
Alors que je la retroussais et que je lui mettais la main sous sa culotte, je lui répondis, en bandant très fort :
— Oui, c’est ça, qu’ils te fassent plein de choses, j’ai envie qu’ils te baisent, devant moi, tous les deux.
J’avais mes doigts qui lui rentraient dans le vagin en lui disant cela, elle a serré les cuisses, elle était trempée.
Silencieux, nos amis assistaient au spectacle que nous leur offrions, ma chérie troussée très haut, sa culotte à moitié baissée sur les fesses, la chatte à l’air et mes doigts qui s’activaient dedans. J’avais parlé normalement, et ils avaient entendu. Ils se sont levés pour s’approcher de nous et ils ont commencé par caresser les seins de ma femme qu’ils ont dénudés. Je me suis éloigné pour venir m’asseoir dans un fauteuil, en spectateur, et les laisser libres de faire ce qu’ils voulaient d’elle. Elle se laissait faire, en me regardant de temps en temps. Georges lui avait rentré des doigts dans la vulve et dans le cul, Michel lui palpait les seins et les fesses. Ils se sont installés tous les trois dans un divan, en face de moi, et ils se relayaient pour lui enfoncer leurs doigts dans la chatte et dans le cul ou les lui mettre en même temps. Elle avait leur queue dressée dans chaque main.
J’avais sorti mon sexe et je me masturbais. Je n’en revenais pas de la facilité avec laquelle elle acceptait ce jeu pervers. Cela me faisait un effet curieux, de la voir ainsi offerte, avec ces mains qui la touchaient et elle, avec des sexes d’homme dans les siennes. Elle me regardait toujours de temps en temps, mais je m’aperçus qu’elle tremblait.
C’est Michel qui ne put attendre plus longtemps. Sans plus s’occuper de moi, il enleva son pantalon et son slip, il la prit dans ses bras et la porta jusqu’au petit lit qui nous sert de canapé, la queue dressée. Il la déposa, il lui remonta sa jupe à la taille, il la débarrassa de sa culotte, il lui écarta les cuisses. Nous la contemplions tous les trois, elle s’offrait sans pudeur, consciente que nos deux amis allaient la prendre et de la perversité de la situation. Michel se pencha sur elle et il pointa son nœud en face de l’entrée du vagin.
Ma chérie couvrit alors sa vulve d’une main et prit la verge de Michel de l’autre, lui chuchota quelque chose et me regarda en disant :
— Tu veux qu’ils me baisent, tu veux que Michel et Georges me baisent ?
Je ne répondis pas et elle retira sa main, en libérant le sexe de Michel qui, impatient, la pénétra de toute sa longueur. J’ai vu la vulve de ma femme s’ouvrir sous la poussée et la queue de notre ami s’enfoncer entièrement. Elle a frémi en poussant un « Ah ! ». Elle ne me quitta pas des yeux pendant qu’il la pénétrait et moi, j’étais fasciné par cette bite qui la v i o l ait. Maintenant, il allait et venait en elle, je voyais sa verge entrer et presque sortir du vagin et les lèvres du con de ma chérie l’entourer, la sucer, la retenir et s’étirer en l’accompagnant. Je voyais son clitoris gonflé qu’il limait à chaque va-et-vient. Il baisait ma femme et il allait jouir d’elle.
Je n’arrivais pas à croire que c’était elle qui était là, le sexe d’un autre homme que moi fiché en elle et qui se faisait ramoner sous mes yeux. Ce ne pouvait être ma femme, étendue sur ce lit, avec les cuisses écartelées dans une posture obscène, qui se faisait besogner, qui gémissait de plaisir sous les coups de boutoir de Michel et qui allait en jouir. Il la bourrait ardemment, il lui fouillait le con que je connaissais si bien.
Elle aime se donner aussi totalement à un autre homme, et j’éprouve un plaisir extraordinaire à la voir ainsi, possédée devant moi, mais cette fois, elle attendait qu’un autre la prenne en suivant…
Elle crie pendant que son orgasme l’emporte, elle halète :
— Il me fait jouir ! … Je jouis, tu me vois ! Il me fait jouir… Oh, c’est bon ! … Tu aimes qu’il me baise ? … Tu le vois ? … Je sens sa queue qui cogne tout au fond… Il me défonce… J’aime… Tu vois comme il me baise bien à fond ? … Tu aimes quand il me fait jouir ? … Georges aussi va me baiser… Tu veux bien ? … J’en ai envie… Tous les hommes que tu voudras, tous… j’aime qu’on me baise devant toi… Donne-moi… C’est trop bon… Il me fait jouir !
Georges s’impatientait et il m’observait, un peu inquiet. Il s’approcha de Michel pour lui dire :
— Dépêche-toi, Michel, m e r d e ! J’ai envie de la baiser moi aussi ! Je n’en peux plus !
Je le regardai et lui dis :
— T’inquiète pas, tu pourras la prendre aussi !
Et je bandais toujours comme jamais, à avoir mal.
Michel la besognait de plus en plus vite, elle râlait. Il poussa un grognement en jouissant, il lui déchargea tout son sperme dans le con et j’ai vu ma chérie aller au-devant en criant :
— Vas-y, donne-moi tout ! Je le sens qu’il décharge, il se vide dans mon ventre ! Je jouis à nouveau ! Oh ! que c’est bon !
Après avoir longuement juté au fond d’elle, il s’est retiré. Les yeux rivés sur la chatte béante de ma femme, pleine du foutre crémeux, j’y ai plongé mes doigts, elle me regardait en se tortillant et m’a dit, tout en souriant :
— Michel m’a fait jouir très fort, tu sais ! … Qu’est-ce qu’il m’a mis ! … C’est bon de se laisser aller… C’est au tour de Georges, maintenant, tu ne crois pas qu’il a assez attendu ? … Tu veux bien ?
Et, s’adressant directement à lui :
— Georges, prends-moi, viens me baiser, j’ai encore envie… Tu vois, mon mari aime voir sa femme se faire baiser, il aime me voir me faire sauter par ses amis, alors vas-y, profite, ne te gêne pas, j’ai toujours eu envie de coucher avec toi, tu ne le savais pas ? Tu vois, mon mari n’est pas jaloux, il aime me donner. Baise-moi, j’en ai envie… C’est toujours ce que tu veux, n’est-ce pas ?
Georges a voulu la prendre de la même manière que Michel, elle, étendue sur le dos et lui par-dessus, en "missionnaire". Mais ma chérie l’a fait se coucher, lui, sur le dos, elle est montée sur lui à califourchon, elle a pris sa bite dans la main droite et l’a introduite elle-même en elle. Elle s’est assise sur lui, elle s’est penchée en avant et, en présentant les lèvres de sa chatte qu’elle écartait, elle lui dit :
— Viens, Georges, donne-moi aussi ton foutre avec celui de Michel !
En cavalière expérimentée, elle n’a pas beaucoup de mal à emmener son amant déjà surexcité à la jouissance. Et à se faire jouir elle-même.
— m e r d e c’est trop bon ! Je le sens se vider, ouaiiiiis !
— À toi, mon amour ! Viens te vider les couilles ! Je suis sûre que tu en meurs d’envie… Viens !
Je ne me le fais pas dire deux fois, il est vrai que je n’en peux plus ; je bande à en avoir mal et je la prends en levrette. Je sais que dans cette position je vais la faire jouir rapidement une quatrième fois en à peine quelques minutes.
— Oui, mon amour, jouis, mêle ton sperme à celui de nos amis… Ohhh !! Tu es trop bon, je viens, donne-moi ton plaisir !
Nos râles de plaisir se mêlent dans un trémolo de bonheur.
Elle se détend quelques instants après que je me suis retiré de son con d’ou s’échappe un mélange de nos éjaculations.
Elle perçoit que vu son excitation, Georges est allongé et à nouveau en érection, et décide de s’empaler sur ce sexe qui lui a déjà donné du plaisir. Après en avoir repris possession, elle me regarde et me dit :
— Mon amour, encule-moi pendant qu’il me baise, j’aime me faire prendre par deux hommes à la fois ! Vas-y, encule-moi pendant que Georges m’enfile par-devant !
Je voyais la bite de Georges enfoncée dans son con dégoulinant de foutre et sa rosette qui palpitait. Je la graissai du foutre qui lui barbouillait les cuisses, pendant que Georges, planté au fond d’elle, la limait doucement. Je me plaçai entre les jambes de ma chérie et de Georges, je pointai ma verge sur l’anus et j’ai poussé. Je l’enculais et je sentais la queue de Georges bien enfoncée près de la mienne. Fou de désir, je l’ai bourrée à fond, nous lui arrachions des cris de douleurs et de plaisirs, je l’ai défoncée brutalement dans un rythme frénétique, et Georges suivait le mouvement, elle hurlait de jouissance. J’ai vu Michel s’approcher et lui présenter sa pine, qui rebandait, devant la bouche. Elle l’a happée goulûment et je voyais ses joues se déformer quand la verge de Michel s’enfournait, il s’en servait comme d’un vagin, en la tenant par la tête. Il lui baisait carrément la bouche.
Elle retire la queue de Michel de sa bouche et me dit :
— Deux bites, j’ai déjà connu, mais jamais trois… c’est trop bon !
Secouée de partout, empalée par trois bites qui la défonçaient, elle s’abandonnait entièrement, je l’entendais grogner et gémir. Je l’enculais v i o l emment, sans retenue. Georges ne tenait plus aucun compte de mes mouvements ; il la baisait comme un fou et sa bite lui sortait du vagin pour y rentrer à nouveau, en heurtant mes couilles. Michel s’enfonçait dans sa gorge à toute vitesse. Je sentais le sperme monter le long de ma queue, mais je me suis retenu le plus longtemps possible, pour finalement exploser en une succession d’éjaculations dans ses intestins. J’ai vu ma chérie manquer de s’étouffer quand Michel s’est vidé dans sa gorge, et du foutre lui coulait de la bouche. J’ai entendu Georges gueuler, il lui foutait toute la sauce au fond du con en lui disant qu’elle était trop bonne… Elle n’était plus qu’une femelle prise de partout, dont on jouissait en se vidant les couilles dans tous ses orifices. Il y avait du sperme partout. Dans son cul, dans son con, dans sa bouche, et dans les nôtres lorsque nous l’embrassions.
Nous l’avons bourrée dans tous les sens, en alternant les positions, chacun son tour, seul, à deux, ou à trois, dans son con, son cul ou dans sa bouche, jusqu’à trois heures du matin, jusqu’à ce que nous n’en puissions plus. Jusqu’à ce que nous n’éjaculions plus, nous les mâles, que quelques gouttes. Nous l’avons même baisée à deux dans son con et un dans son cul… c’était incroyable, elle a eu des orgasmes à en perdre la tête.
Michel et Georges partis, ma chérie et moi, nous nous sommes écroulés de fatigue et de plaisir et nous avons dormi jusqu’à midi. C’est ma femme qui m’a réveillé. Elle était en pleine forme et de très bonne humeur. La seule allusion à notre nuit de débauche a été de dire malicieusement :
— Qu’est-ce que j’ai mal… aux fesses !
Mongil
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